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Le 3e rapport périodique de lutte contre la torture et autres peines ou traitements cruels en étude à Lomé

la Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Justice et des Relations avec les institutions de la République, chargée des Droits de l’Homme, Mme Nakpa Polo ( au milieu)
Le 3e rapport périodique de lutte contre la torture et autres peines ou traitements cruels en étude à Lomé

Le 3ème rapport périodique du Togo sur la mise en œuvre de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, se tient, depuis ce jeudi, à Lomé. C’est la Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Justice et des Relations avec les institutions de la République, chargée des Droits de l’Homme, Mme Nakpa Polo, a ouvert les travaux de la rencontre, en présence des membres de la commission interministérielle de rédaction des rapports, des cadres du secrétariat d’Etat et de la société civile.

La communauté internationale a reconnu la torture comme étant l’une des atteintes les plus brutales et inacceptables à la dignité humaine. Les actes de torture, les peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants sont de ce fait expressément prohibés par un grand nombre de conventions internationales, universelles comme régionales. C’est dans ce cadre que le Togo a présenté son deuxième rapport périodique sur la mise en œuvre de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants,  les 12 et 13 novembre 2012, devant le comité contre la torture au cours de sa 49ième session. A l’issue de cet examen, le comité contre la torture a proposé au Togo, de soumettre son troisième rapport périodique suivant la procédure facultative. Ainsi, un questionnaire en trente-quatre points, relatifs aux articles 1 à 16, de la convention, a été soumis au Togo. Ce sont les éléments de réponse à ce questionnaire qui tiennent lieu de ce 3ième rapport périodique et qui fait objet de validation, depuis hier, à Lomé. L’objectif de la rencontre est d’examiner et de valider au plan national le rapport périodique avec les institutions de la République et les organisations de la société civile et de le soumettre au comité contre la torture. Pendant deux jours, la trentaine de participants seront amenés à analyser, à évaluer  et à amender le document, en vue de son adoption.

 

 

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