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Début des examens scolaires au Togo : 68 100 élèves de la classe de 1ère à l’assaut du BAC 1

Le ministre Bagbiègue prodigue des conseils aux candidats
Début des examens scolaires au Togo : 68 100 élèves de la classe de 1ère à l’assaut du BAC 1

Les épreuves écrites de l’examen du Baccalauréat Première Partie (BAC1) ont démarré ce mardi 21 mai 2019,  sur toute l’étendue du territoire national. Au total 68 100 candidats sont engagés dans la course, soit 54 900 postulants pour l’Enseignement général et 13 200 pour les séries techniques.

Au premier jour de ces épreuves écrites, ce matin,  le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation et de l’Insertion professionnelle, M. Taïrou Bagbiègue s’est rendu dans certains centres d’écrit des préfectures du Golfe et des Lacs pour constater le bon déroulement des épreuves.

Ils sont au total 68100 candidats, dont 54900 pour l’Enseignement général et 13200 pour l’Enseignement technique à composer pour le compte du Baccalauréat Première Partie (BAC 1). Ces candidats sont répartis dans 145 centres d’écrit y compris celui d’Accra, au Ghana.

Le ministre Taïrou Bagbiègue s’est rendu successivement au lycée de Baguida et à l’Institut Vic Intelligentsia à Avépozo, dans la préfecture du Golfe, et au Lycée d’Agbodrafo, dans la préfecture des Lacs, où il a constaté le bon déroulement de l’examen.

Il a exhorté les candidats à bien travailler pour franchir le cap du BAC1 afin s’ouvrir  les portes d’entrer en classe de Terminale. Pour ce qui concerne l’Enseignement général, l’on note cette année, une baisse de 4782 candidats soit 8%. Le nombre de filles est passé de 21995 en 2018 à 21427 en 2019, soit une légère baisse de 3%.

Ce résultat montre, selon le directeur de cabinet, M. Komlan Y. Amessiamenou que la mise en œuvre de la politique de maintien de la fille à l’école doit être accentuée. Les candidats inscrits dans les séries scientifiques (C et D) représentent seulement 36,61%, soit 20113 candidats, contre 63,36%, soit 34787 candidats inscrits en série A4. Il importe donc, selon M. Amessiamenou, de poursuivre les efforts de lutte contre la désertion des filières scientifiques.

 

Ossara Koffi AGOURNA

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