La phase pratique de l’Examen du Certificat de Fin d’Apprentissage (CFA), session 2021, a débuté mardi 14 septembre 2021, sur toute l’étendue du territoire national. Pour constater l’effectivité et s’assurer du bon déroulement des épreuves, le ministre délégué en charge de l’Enseignement technique et de l’Artisanat, M. Kokou Eké Hodin, a effectué, mercredi, une tournée dans certains centres d’examen du Grand Lomé. Il entendait ainsi apporter le soutien du gouvernement aux candidats, à travers des conseils et encouragements. Partout où il est passé, tout se passe bien, dans le respect des mesures barrières à la riposte contre la COVID-19.
Démarré le mardi 14 septembre sur toute l’étendue du territoire, l’Examen de Fin d’Apprentissage (CFA) regroupe cette année 39.196 candidats, dont 26.315 filles qui composent dans 55 spécialités dans 365 centres à travers le pays. Pour constater le bon déroulement des travaux, le ministre délégué en charge de l’Enseignement technique et de l’Artisanat, M. Kokou Eké Hodin, a effectué mercredi une tournée dans trois centres du Grand Lomé. Il a notamment visité le centre du Lycée technique d’Adidogomé, celui du Centre de Construction et de Logement et celui du Lycée d’Agoè –Centre. Dans tous ces centres, tout se passe bien. Les jurys sont en place, les coordonnateurs sont présents, les matériels de travail des candidats sont bien en place, et chacun compose paisiblement dans sa filière.
« Nous avons constaté que l’Examen a bien démarré. Tout se déroule très bien à travers tout le pays, dans le respect des mesures barrières à la riposte contre la pandémie de la COVID-19, d’après les correspondances. Nous nous réjouissons de ce que nous avons vu dans les centres visités. Le nombre de candidats a nettement augmenté cette année, grâce à la gratuité de l’inscription aux examens décrétée par le chef de l’Etat, que je salue pour cette vision qui va permettre aux artisans d’émerger davantage dans ce secteur qui occupe déjà une part importante du PIB national », a déclaré le ministre Hodin
De leurs côtés, les candidats se réjouissent également de passer cet Examen officiel qui va leur procurer un diplôme d’Etat devant leur conférer une légitimité dans leurs actions. « Je suis très content de passer cet examen, parce qu’avec ce diplôme, le gouvernement va me reconnaître dans mon métier et pourra même me confier des chantiers », a souligné M. Patcham Abi, candidat en maçonnerie.
L’Examen prend fin demain avec la phase des épreuves orales, après l’étape des épreuves pratiques dont les délibérations auront lieu cet après-midi.
Vincent K. HOEDANOU
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