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La délégation du  FMI fait le point de la revue  du programme 2024 au Premier ministre

La délégation du FMI (à gauche) est allée fait le point de la revue à la PM Victoire Tomégah-Dogbé (de face).
La délégation du  FMI fait le point de la revue  du programme 2024 au Premier ministre

La cheffe du gouvernement, Victoire Tomégah-Dogbé, a conféré, le 17 octobre 2024, à la Primature, avec une délégation du Fonds Monétaire International (FMI), conduite par son chef de mission pour le Togo, M. Hans Weisfeld. La délégation est allée lui faire le point de la première revue du programme 2024 du FMI, qui est « très satisfaisante », selon M. Weisfeld.

Au sortir de l’audience accordée par le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, à la Primature, M. Hans Weisfeld, à la tête d’une délégation du Fonds Monétaire International (FMI), a déclaré avoir fait le point de la première revue du programme approuvé par le Fonds Monétaire International (FMI). « Nous sommes là pour faire le point de la première revue du programme approuvé par le FMI, en mars dernier. Nous avons constaté que la mise en œuvre des politiques par le gouvernement est tout à fait satisfaisante. Nous sommes très optimistes pour pouvoir conclure cette première revue au Conseil d’Administration du FMI, le 17 décembre prochain, de façon positive, afin qu’on puisse continuer ce programme et revenir pour la deuxième revue, en 2025. Les performances du Togo sont très positives, avec une croissance qui se porte bien, des revenus fiscaux qui s’améliorent, et un déficit fiscal bien maîtrisé. Nous croyons que le développement est satisfaisant et les perspectives sont favorables », a-t-il indiqué.

M. Weisfeld a félicité le Togo pour les efforts consentis au quotidien, pour renforcer l’inclusion et ne laisser personne pour compte. « J’ai constaté une volonté très forte pour une croissance plus inclusive dans le futur et c’est d’ailleurs un élément clé qui permettra au gouvernement de maintenir et de renforcer la croissance, tout en la rendant plus inclusive, pour le bien être des pauvres », a-t-il conclu.

Clémentine PANASSA

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