
Un panel de haut niveau a réuni, le réuni le 5 septembre 2025, à Alger, en marge de la 4e la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025), Nardos Bekele-Thomas (CEO, AUDA NEPAD ), Nikita Gusakov (CEO, Russian Export Center), Mohammed Mekkati (Directeur général, Secteur commercial public, Algérie), Farouk Gumel (Directeur exécutif du groupe et vice-président, Tropical General Investments Group), Marlene Ngoyi (CEO, Fund for Export Development in Africa FEDA) et Haytham ElMaayergi (Vice-président exécutif, Global Trade Bank, Afreximbank) pour relever l’un des plus grands défis et opportunités de l’Afrique : l’infrastructure.
La discussion a clairement montré que les retards dans l’infrastructure ne sont pas seulement des revers techniques ; ils coûtent à l’Afrique sa compétitivité, augmentent les coûts commerciaux et ralentissent les promesses de l’ALEA. Les exemples partagés vont de l’expansion ferroviaire ambitieuse de l’Algérie à des modèles de financement innovants conçus pour débloquer des capitaux pour l’énergie, le transport et la connectivité numérique.
Le cas économique est indéniable : chaque milliard de dollars investi dans les infrastructures crée des dizaines de milliers d’emplois et a le pouvoir de sortir des millions de la pauvreté. Mais le succès nécessite plus que du financement ; il exige une collaboration entre les gouvernements, les financiers et le secteur privé, la réalisation de projets bancables et l’investissement dans les compétences qui alimenteront l’avenir industriel de l’
L’infrastructure n’est pas optionnelle. C’est le fondement du commerce, de l’intégration et de la prospérité, et l’Afrique doit accélérer la livraison pour libérer tout son potentiel.
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