Les épreuves écrites de l’examen du Baccalauréat deuxième partie (BAC II) ont démarré ce mardi 7 Août 2018, sur toute l’étendue du territoire national. Au total 57269 candidats, dont 48291 pour l’Enseignement général et 8978 pour l’Enseignement technique, sont engagés dans la course pour l’obtention du premier diplôme universitaire. A l’occasion, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche M. Octave Nicoué Broohm et ses collègues Komi Paalamwé Tchakpélé et Georges Kwawu Aïdam, respectivement des Enseignements primaire et secondaire et de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, ont effectué une tournée dans les centres de Lomé et de Notsè pour constater le bon déroulement de l’examen.
Les élèves des classes terminales composent, depuis hier, pour le compte du Baccalauréat deuxième partie (BAC II). Pour cette année 2018, ils sont, au total, 57269 candidats contre 67 000 pour l’année dernière dont 20761 filles.
L’Enseignement général compte 48291 candidats soit 84,323% contre 8978, soit 15,677% pour l’Enseignement technique. Au niveau de l’enseignement général, c’est la série A4 qui connaît le plus grand nombre de candidats, soit 28721 contre 469 et 19101 pour les séries C et D.
Du côté de l’Enseignement technique, la série G se taille la part du lion, soit 7796 candidats contre 1182 pour les séries industrielles (E, F1, F2, F3, F4 et T i/1).
Au premier jour des épreuves écrites, les ministres Octave Nicoué Broohm et ses collègues Komi Paalamwé Tchakpélé et Georges Kwawu Aïdam, ont effectué une tournée dans quelques centres d’écrit de Lomé et de Notsè. Cette tournée qui a conduit ces ministres au lycée de Tokoin et au lycée technique d’Adidogomé à Lomé puis à Notsè, notamment au lycée moderne, au Collège NDA et au CEG ville I, leur a permis de constater le bon déroulement des épreuves.
Le ministre Broohm a saisi l’occasion pour souhaiter un bon examen et une bonne réussite à tous les candidats. M. Broohm et ses collègues se sont réjouis du dénouement heureux de l’année scolaire 2017-2018 et du bon déroulement des examens, malgré les perturbations qui l’ont émaillée.
Côté candidats, des inquiétudes se font déjà sentir chez certains, à la sortie de l’épreuve de français qu’ils ne trouvent pas assez à leur portée : «Nous aurions souhaité que les épreuves soient formulées dans un français simple, pour notre compréhension», a déclaré M. Alongno l’un des candidats, en série D.
Pour l’ensemble des candidats, l’optimisme et la sérénité sont au rendez-vous pour l’obtention de ce diplôme qui leur ouvre les portes des universités.
Ossara Koffi AGOURNA
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