Le ministre des Enseignements Primaire, Secondaire et de la Formation professionnelle, M. Komi Paalamwé Tchakpélé et son collègue Georges Kwawu Aïdam, des Enseignements techniques, ont visité certains centres d’écrit de l’examen du Baccalauréat Première partie (BAC 1) dans la ville de Lomé. ceci pour constater la bonne organisation et le bon déroulement des épreuves.
L’examen du Baccalauréat Première partie (BAC 1) a démarré, sur toute l’étendue du territoire national par l’épreuve de français. Les candidats sont appelés à choisir entre trois sujets, à savoir : la contraction de texte, la dissertation et le commentaire composé. A cette occasion, le ministre des Enseignements Primaire, Secondaire, et de la Formation professionnelle, M. Komi Paalamwé Tchakpelé et son collègue des Enseignements techniques, M. Georges Kwawu Aïdam, ont visité quelques centres d’écrit de la capitale. Les deux ministres se sont rendus successivement au Collège Notre-Dame de l’Eglise (NDE), au Lycée Kouvayé, au Lycée Technique d’Adidogomé et enfin au Lycée Moderne Adidogomé n°2
Cette tournée de visite des centres d’examen a permis aux deux membres du gouvernement de constater le bon déroulement des épreuves au plan organisationnel et de s’assurer que les équipes pédagogiques travaillent normalement sur le terrain. Les ministres Tchakpelé et Aïdam ont voulu, par ailleurs, encourager les candidats et leur dire qu’ils sont ce qu’il y a de plus cher pour l’Etat et que le gouvernement attend beaucoup d’eux.
Le ministre Tchakpélé a saisi l’occasion pour remercier les parents d’élèves et les partenaires techniques et financiers et surtout les enseignants pour le retour de la sérénité dans le secteur de l’éducation. Le ministre des Enseignements Primaire, Secondaire et de la Formation professionnelle a déclaré que tout se déroule bien sur toute l’étendue du territoire et qu’aucun incident n’est signalé.
Au total, 52193 candidats dont 18321 filles composent pour le compte de l’enseignement général contre 44382 candidats pour l’année passée, soit une augmentation de 17%. Pour l’enseignement technique, ils sont un peu plus de 14000 candidats contre 13000 pour l’année 2015-2016, soit une progression de 4%.
L’on note une nette augmentation du nombre de filles dans toutes les séries avec une particularité dans l’Enseignement technique où elles sont plus de 7500 contre 6500 garçons.
A Lomé, le nombre total des candidats s’élève à 16518, dont 7155 filles.
Les ministres Tchakpélé et Aïdam se sont réjouis de cet accroissement du nombre de candidats, ce qui témoigne de la vitalité du système éducatif au Togo.
Ossara Koffi AGOURNA
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