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Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé et la vice-présidente de la Banque Mondiale Mme Laura Tuck ont échangé sur les solutions à apporter à l’érosion côtière

Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé et la vice-présidente de la Banque Mondiale Mme Laura Tuck ont échangé sur les solutions à apporter à l’érosion côtière

La vice-présidence pour le Développement durable de la Banque Mondiale, Mme Laura Tuck, à la tête d’une délégation de son institution, a été reçue en audience, ce mercredi, au palais de la présidence, par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Les discussions ont porté sur les solutions à apporter à la question de l’érosion côtière.

Le président de la République, Faure Gnasingbé, s’est entretenu, avec une délégation de la Banque Mondiale conduite par la vice-présidente pour le Développement durable, Mme Laura Tuck. Au sortir de l’audience, le directeur des opérations de la Banque Mondiale pour le Togo, M. Pierre Laporte, a déclaré que Mme Laura Tuck qui est au Togo dans le cadre d’une visite régionale dans plusieurs pays, inclus le Togo, le Bénin et le Ghana, laquelle visite est focalisée sur la question de l’érosion, a discuté avec le président de la République, et des perspectives pour le pays, et de ce que doit faire la Banque Mondiale pour aider le Togo à résoudre le problème de l’érosion côtière.

«On est en ce moment en train de mettre en place un programme régional sur l’érosion côtière et le Togo est un des six pays qui va bénéficier de ce projet avec un appui de la Banque Mondiale à hauteur de 45 millions de dollars» a dit M. Pierre Laporte.

L’autre question importante discutée porte sur le rôle du Togo comme pionnier dans la région pour enrayer cette question de l’érosion côtière.

«Le Togo a récemment accueilli une grande conférence sur la Sécurité maritime et le Président de la République a été très actif avec la Banque Mondiale pour promouvoir la question de l’érosion côtière. On pense que c’est quelque chose, au-delà de l’effort national, doit   être pris au niveau régional car, il peut avoir des actions au Togo qui affectent le Bénin comme des actions au Ghana qui peuvent affecter le Togo. C’est pour cela que cette question doit être résolue au niveau régional» a-t-il signifié.   Faustin LAGBAI

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