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En fin de mission, l’ex-Commissaire de l’OTR est allé faire ses adieux au chef de l’Etat

Le président Faure Gnassingbé (à droite) en discussion avec M. Gaperi
En fin de mission, l’ex-Commissaire de l’OTR est allé faire ses adieux au chef de l’Etat

Le Chef de l’Etat Faure Essozimna Gnassingbé a reçu à la Présidence de la République l’ancien commissaire général de l’Office Togolais des Recettes (OTR), M. Henry Gaperi. En fin de mission au Togo, après trois années passées à la tête de cette institution, M. Gaperi est allé faire ses adieux au Président de la République. Il a au cours de cet entretien exprimé sa gratitude au Chef de l’Etat pour son leadership et pour ses précieuses directives. Des orientations  qui lui ont permis d’accomplir avec l’aide du gouvernement,  les différentes tâches qui lui avaient été assignées. M. Gaperi a aussi, au cours de cet entretien,  discuté des succès et des perspectives de l’OTR. « Le Togo est mon pays. J’ai aimé mon séjour dans ce pays et le Président est très fier de ce que nous avons fait. Nous avons bouclé la première phase en centralisant les institutions. La seconde phase consistera à simplifier le système fiscal en communiquant plus. Je  pense que les médias et tout le monde vous devez  tout faire pour aider votre pays à travers plus de communications, d’analyses, et en montrant la voie à suivre car le pays ne peut se développer sans les ressources pour financer le développement. Ce développement n’est pas seulement pour les fonctionnaires du gouvernement, mais pour tout le monde. Tout le monde doit aider le gouvernement à mobiliser les ressources nécessaires pour le développement du pays » a déclaré M. Gaperi à sa sortie d’audience.

Il a par ailleurs indiqué que l’OTR est une opportunité pour les togolais, car elle est une institution pour les togolais  qui emploie plus de 1500 agents qui travaillent et parmi lesquels il est le seul étranger. M. Gaperi a félicité  ses agents pour le travail exceptionnel abattu, rappelant au passage l’importance de ces derniers pour la nation. Il a souhaité voir l’amélioration des rapports entre ceux-ci, la population et la presse. « C’est une question de construction nationale et de compréhension. Ils sont là pour le bien commun. Approchez ces agents et aidez-les dans leurs missions » a-t-il renchérit

Essobiyou AMAH

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